L'Institut d'études énergétiques d'Oxford (OIES) à propos des moyens d'améliorer le secteur pétro-gazier du Turkménistan
Paris / Lagazetteaz
La poursuite de l'amélioration du secteur pétro-gazier du Turkménistan est liée à la transparence, à une meilleure compréhension de l'importance du transport vers les marchés et de la manière dont le Turkménistan s'inscrit dans la situation du marché mondial, a déclaré dans un communiqué Julian Bowden, représentant de l'Institut d'études énergétiques d'Oxford (OIES).
Il a également abordé le sujet du Forum international sur l'attraction des investissements dans le secteur pétro-gazier du Turkménistan : « Le forum informe réellement sur les aspects du développement et des plans du secteur énergétique du Turkménistan. »
Plus tôt, M. Bowden avait indiqué que le Turkménistan doit entamer une discussion sur la manière dont son gaz s'inscrit dans le programme de décarbonisation, c'est-à-dire dans le cadre de la transition énergétique.
Il avait souligné qu'il y a deux perspectives pour étendre la géographie des pays ayant le potentiel d'importer du gaz turkmène, la première étant les marchés existants, ce qui signifie plus d'exportations de gaz du Turkménistan vers la Chine : « Le problème maintenant est que les fournitures russes via le gazoduc "Power of Siberia" ont commencé, donc la concurrence a augmenté. Ainsi,les nouveaux marchés ont été mis en avant comme une deuxième opportunité. Un candidat évident est l'Azerbaïdjan, le long de la ligne transcaspienne. D'autres nouveaux marchés potentiels sont les voisins d'Asie centrale comme le Kazakhstan et l'Ouzbékistan », avait-t-il opiné.
Texte par Jeyla Aliyeva
