L´Ouzbékistan, l'UNESCO et l'UE discutent de la mise en œuvre d'une feuille de route pour 2021 dans le domaine de l'agriculture
Paris / Lagazetteaz
L’Ouzbékistan, l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) et l’Union européenne (UE) ont discuté de la mise en œuvre d'une feuille de route pour 2021 sur le développement agricole en Ouzbékistan, a-t-on appris auprès de l'UNESCO.
Le 23 février 2021, une réunion du comité directeur du projet sur le développement des compétences pour l'emploi dans les zones rurales de l'Ouzbékistan, financé par l'Union européenne et mis en œuvre par l'UNESCO, a eu lieu.
L'événement était organisé par la délégation de l'Union européenne en Ouzbékistan, l'UNESCO, le Ministère de l'Enseignement supérieure et secondaire spécialisé, le Ministère de l'Agriculture et le Ministère des Ressources en eau de l'Ouzbékistan.
Le projet, financé par l'UE à hauteur de 9,6 millions d'euros, a été lancé le 28 juillet 2020 par le gouvernement d'Ouzbékistan et l'UNESCO pour la période allant de 2020 à 2024.
Les activités du projet visent à améliorer le système de formation avancée dans les secteurs de l'agriculture et de l'irrigation dans quatre régions de l'Ouzbékistan (Karakalpakstan, Khorezm, Boukhara et Sourkhandarya)
François Bejo, chef du département de coopération de la délégation de l'Union européenne en Ouzbékistan, a noté que ce programme conjoint est aligné dans les domaines prioritaires de la stratégie de développement de l'Ouzbékistan pour 2017-2021 en termes de développement des compétences, ainsi qu'avec les objectifs de développement durable, tels que « Éducation de qualité », « Réaliser l'égalité des genres et l'autonomisation de toutes les femmes et les filles » et « Travail décent et la croissance économique » : « Je pense que ce nouveau programme, qui rassemble les forces de l'UE et de l'UNESCO dans le domaine du développement des compétences, contribuera à la mise en œuvre des réformes, en particulier en ces temps difficiles causés par la pandémie de COVID-19 », a estimé M. Bejo.
