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L'ARMÉNIE AU BORD DU GOUFFRE: UNE PROVOCATION DE TROP ?

21 Mars 2025 10:05 (UTC+01:00)
L'ARMÉNIE AU BORD DU GOUFFRE: UNE PROVOCATION DE TROP ?
L'ARMÉNIE AU BORD DU GOUFFRE: UNE PROVOCATION DE TROP ?

Paris / La Gazette

Depuis des années, l'Arménie joue une partie bien crasseuse, manipulant habilement l'opinion publique et bernant la communauté internationale. Derrière les discours enflammés sur la « paix » avec Bakou, se cache toujours le même Erevan fourbe, celui qui, pendant des décennies, a pratiqué la politique de l'occupation et du nettoyage ethnique. Le gouvernement arménien agit comme un escroc de casino, mélangeant des cartes truquées, tout en proposant soi-disant de « nouvelles initiatives » qui ne sont qu’un écran de fumée pour cacher une nouvelle aventure militaire.

L'Arménie, toujours fidèle à elle-même, dévoile son vrai visage — celui du mensonge cynique, de la perfidie et de l'agression. Erevan agit comme un chacal sournois, se faufilant dans l'ombre en jouant les pacifistes, alors qu'en réalité, il attend juste le bon moment pour frapper. Hier encore, les autorités arméniennes déclamaient à qui voulait l'entendre qu'elles étaient prêtes à signer un accord de paix. Et aujourd'hui ? Boom ! Leurs canons résonnent de nouveau à la frontière, visant les positions azerbaïdjanaises. Ces tirs, ce n'est pas un accident ou une erreur, mais bien un acte d'agression délibéré, une provocation soigneusement orchestrée pour torpiller le processus de paix.

Les récents événements sont une gifle magistrale pour ceux qui espéraient encore un dialogue constructif. L'Arménie ne se contente pas d'être incohérente — elle se moque ouvertement du processus de paix, essayant de le transformer en un interminable théâtre de l'absurde. Quand, en juin 2024, le Premier ministre arménien Nikol Pachinyan s’époumonait à parler d’un « mécanisme conjoint d’enquête sur les violations du cessez-le-feu », il savait très bien que ses paroles ne valaient même pas le papier sur lequel elles étaient écrites. Et lorsqu’en janvier 2024, il proposait bruyamment de créer un « mécanisme de contrôle mutuel des armements », son but n'était pas de renforcer la paix, mais bien de détourner l’attention et masquer ses plans réels de militarisation.

Le gouvernement arménien agit comme un pyromane rusé : il allume l’incendie et crie ensuite plus fort que tout le monde qu’il faut éteindre les flammes. Sauf que cette fois-ci, l’Arménie ne brûle pas seule — elle tente d’embraser toute la région, espérant entraîner dans cette spirale ses parrains occidentaux, ces mêmes acteurs qui rêvent depuis longtemps de maintenir l’instabilité dans le Caucase du Sud.

Ce comportement démontre une chose claire : Erevan est incapable de mener un dialogue constructif. Il ne veut pas la paix — il veut la revanche. Il rêve de laver l’humiliation cuisante subie en 2020. Et dans cette quête aveugle de vengeance, l’Arménie est prête à sacrifier, une fois encore, la sécurité de ses citoyens, les poussant sous les balles pour de sales manœuvres politiques.

Bakou, lui, n’a plus aucune intention de tolérer cette mascarade. L’armée azerbaïdjanaise est prête à réagir avec fermeté et détermination à toute provocation, afin de dissuader définitivement Erevan de jouer avec le feu. L'Arménie doit comprendre que cette fois, ses aventures militaires pourraient tourner au désastre, et la responsabilité des conséquences potentielles retombera entièrement sur les épaules de Pachinian et de sa bande d’irresponsables.

Récemment, la porte-parole du ministère arménien des Affaires étrangères, Ani Badalyan, a fait une déclaration en réponse aux propos du porte-parole du ministère azerbaïdjanais des Affaires étrangères, Ayhan Hajiyev. Ce dernier avait accusé Erevan de violer le cessez-le-feu et de ne pas respecter ses engagements. Badalyan a tenté de se défendre, affirmant qu’Erevan était prêt à examiner les preuves présentées par l’Azerbaïdjan, mais seulement si ces éléments étaient transmis directement à la partie arménienne.

Cette réponse sonne clairement comme une esquive et montre la volonté évidente d’éviter toute responsabilité. Plus logique et honnête aurait été de reconnaître la violation et de promettre une enquête approfondie pour punir les responsables. Car l’incident du 12 février 2024, où un garde-frontière azerbaïdjanais a été blessé par un tir, a eu des conséquences tragiques. Quatre militaires arméniens ont perdu la vie ce jour-là, et un autre a fini sur un lit d’hôpital avec un avenir incertain. Cet épisode résulte d’un mépris flagrant du régime de cessez-le-feu.

De plus, la déclaration de Badalyan sur la soi-disant initiative arménienne de créer un « mécanisme conjoint d’enquête sur les violations du cessez-le-feu » soulève des doutes. Depuis sa défaite dans la guerre, l'Arménie n’a plus les moyens de proposer de telles initiatives sur un pied d’égalité. Dans la logique de l'après-guerre, c’est le vainqueur qui fixe les règles, et le perdant doit les appliquer sans rechigner.

Les journalistes ont aussi interrogé Badalyan sur deux questions majeures : la dissolution du Groupe de Minsk de l’OSCE et la révision de la Constitution arménienne. La porte-parole a exprimé son soutien à la dissolution de cette structure dépassée, mais elle a aussi exprimé l’« inquiétude » d’Erevan face aux déclarations de Bakou sur l’Azerbaïdjan occidental. Une inquiétude bien compréhensible, puisque la question du retour des Azerbaïdjanais expulsés de leurs foyers en Arménie devient chaque jour plus urgente. Rappelons qu’en 1987, des milliers d’Azerbaïdjanais ont été chassés d’Arménie au prix de pogroms et de violences. Leur retour légitime n’est pas une revendication territoriale, mais une question de respect des droits humains fondamentaux. Ce processus devra se faire dans le respect de l’intégrité territoriale de l’Arménie, mais refuser tout dialogue avec la Communauté de l'Azerbaïdjan occidental ne fera qu’aggraver les tensions.

Quant à la Constitution arménienne, Badalyan s’est appuyée sur la décision de la Cour constitutionnelle du 26 septembre 2024, selon laquelle la loi fondamentale arménienne n’inclurait prétendument aucune revendication territoriale envers les États voisins. Mais cette déclaration s’est accompagnée d’une tentative grotesque d’accuser l’Azerbaïdjan de contenir des revendications similaires dans sa propre Constitution. En réalité, le retour des Azerbaïdjanais à Zanguezour ou sur d’autres terres ancestrales n’est pas une question d’ambitions territoriales, mais bien de rétablissement de la justice historique.

De plus, les accords signés précisent clairement que l'Arménie et l'Azerbaïdjan reconnaissent mutuellement leur intégrité territoriale dans les frontières des anciennes républiques soviétiques et s'engagent à ne pas formuler de revendications territoriales l'un envers l'autre. Ces dispositions priment sur la législation interne de l'Arménie, mais il est peu probable qu'Erevan respecte réellement ses engagements. L'histoire montre que l'Arménie a souvent violé les accords signés, espérant un changement de la conjoncture internationale en sa faveur ou un soutien de l'Occident.

La question se pose alors : qui défendra l'Arménie en cas de nouvelle provocation ? La Russie a clairement indiqué qu'elle ne comptait pas s'engager dans un conflit pour Erevan. Quant aux États-Unis, ils ne semblent pas non plus disposés à intervenir. En ce qui concerne l'Europe, sa « profonde préoccupation » ne se traduira probablement pas par des actions concrètes.

Dans cette situation, l'Arménie n'a qu'une seule issue raisonnable : cesser les provocations à la frontière, amender sans délai sa Constitution conformément aux accords conclus, entamer des négociations avec la Communauté de l'Azerbaïdjan occidental concernant le retour des Azerbaïdjanais expulsés dans leurs foyers, et enfin, reconnaître l'inutilité de la poursuite de l'existence du Groupe de Minsk de l'OSCE. Tenter de gagner du temps ou espérer un soutien de puissances tierces ne fera qu'aggraver sa situation.

Une fois de plus, l'Arménie démontre sa propension traditionnelle aux provocations militaires à la frontière avec l'Azerbaïdjan. Ces derniers jours, les tirs sur les positions azerbaïdjanaises se sont intensifiés, prouvant que les déclarations officielles d'Erevan sur sa volonté de paix ne correspondent pas à la réalité. Paradoxalement, cette nouvelle vague d'agressions a débuté presque immédiatement après que l'Arménie a exprimé son accord avec les propositions de l'Azerbaïdjan concernant le texte de l'accord de paix. Cette tactique témoigne de l'extrême incohérence et de l'instabilité de la politique du gouvernement arménien.

Les tentatives de justifier ces actes provocateurs s'accompagnent de références à d'anciennes initiatives. En juin 2024, le Premier ministre arménien avait publiquement proposé la création d'un prétendu « mécanisme conjoint d'enquête sur les violations du cessez-le-feu ». Un peu plus tôt, en janvier de la même année, lors d'une réunion avec des représentants du parti au pouvoir, il avait évoqué l'idée d'un « mécanisme de contrôle mutuel des armements » et proposé de signer un accord à cet effet avec l'Azerbaïdjan. Toutefois, ces deux initiatives étaient purement déclaratives et visaient davantage à attirer l'attention de la communauté internationale qu'à prendre des mesures concrètes pour instaurer la paix.

Le plan de revanche reste l'une des priorités de la politique arménienne. Cela est confirmé non seulement par les déclarations de l'opposition et des critiques du gouvernement en place, mais aussi par la rhétorique officielle des représentants du pouvoir. Lors d'une rencontre avec des parlementaires européens, l'ancien « président du parlement » de la défunte junte terroriste des Arméniens du Karabakh a publiquement parlé de « nettoyage ethnique » au Karabakh, accusant l'Azerbaïdjan d'« agression » et de « vandalisme contre les monuments arméniens », dans le but de présenter une image mensongère de la situation dans la région. De telles déclarations visent uniquement à entretenir les tensions dans la région et démontrent la volonté d'Erevan de maintenir le conflit dans une phase active.

Ces derniers mois, l'Arménie a manifesté une augmentation significative de sa puissance militaire, ce qui suscite de vives inquiétudes quant à ses intentions régionales. Cette militarisation progressive menée par le gouvernement arménien laisse présager une préparation à une éventuelle escalade du conflit avec l'Azerbaïdjan. En particulier, l'annonce récente de vastes rassemblements de réservistes, prévus dans les semaines à venir, peut être interprétée comme une préparation à de nouvelles provocations et affrontements armés.

Selon les informations disponibles, les autorités arméniennes ont annoncé l'organisation de rassemblements militaires pour les citoyens jusqu'à 55 ans inscrits dans les registres de réserve des officiers, sous-officiers et soldats. Ces activités sont officiellement présentées comme des exercices planifiés visant à renforcer la défense nationale. Cependant, leur ampleur et leur calendrier suscitent des soupçons quant à une préparation possible à une escalade à la frontière avec l'Azerbaïdjan.

Le budget de la défense de l'Arménie pour 2024 s'élève à 555 milliards de drams (plus de 1,42 milliard de dollars américains), soit une augmentation de 7 % par rapport à l'année précédente. Ces fonds sont destinés à la modernisation des forces armées et à l'achat d'armements modernes. En particulier, l'Arménie a conclu des accords avec la France pour la fourniture de véhicules blindés et de systèmes d'artillerie. En outre, des négociations sont en cours avec l'Inde concernant l'acquisition de 84 unités de systèmes d'artillerie tractés de 155 mm ATAGS.

Il est également signalé la construction de dix positions militaires fortifiées à la frontière avec l'Azerbaïdjan. Ces infrastructures, par leur structure et leur emplacement, constituent des points de départ idéaux pour des actions offensives, assurant un contrôle de tir sur des territoires stratégiquement importants. De plus, ces positions sont reliées entre elles par un réseau de tunnels, ce qui pourrait être utilisé pour mener des opérations de diversion.

Ces derniers mois, les pays occidentaux ont intensifié leur soutien à l'Arménie dans une tentative de restaurer leur influence dans la région. Des livraisons d'armes en provenance de France et d'Inde sont signalées, ainsi que la conclusion d'accords de coopération militaro-technique. En outre, l'Arménie a gelé sa participation à l'OTSC et cessé de verser ses contributions à son budget, ce qui témoigne d'une réorientation de sa politique étrangère.

La militarisation accélérée de l'Arménie, comprenant l'augmentation du budget de la défense, l'achat d'armements modernes et l'organisation de vastes rassemblements de réservistes, soulève de sérieuses inquiétudes quant à la stabilité de la région. Ces actions pourraient conduire à une nouvelle escalade du conflit avec l'Azerbaïdjan, ce qui aurait des répercussions négatives sur la sécurité et le processus de paix dans le Caucase du Sud.

Selon les informations disponibles, les autorités arméniennes prévoient d'organiser des exercices militaires d'envergure qui concerneront à la fois des réservistes expérimentés et des personnes n'ayant jamais participé à des combats. Officiellement, ces mesures sont présentées comme faisant partie des activités planifiées visant à renforcer la capacité de défense du pays. Toutefois, le calendrier et l'ampleur de ces manœuvres suscitent des soupçons quant à l'objectif réel : une éventuelle préparation à une nouvelle escalade à la frontière avec l'Azerbaïdjan.

Il est significatif que de telles démarches ne soient pas nouvelles pour les autorités arméniennes. Après la défaite dans la guerre de 44 jours en 2020, l'Arménie a à plusieurs reprises organisé des rassemblements militaires et des exercices qui coïncidaient souvent avec les tentatives de dialogue diplomatique ou les négociations de paix. Cela révèle une stratégie de double jeu : alors que l'Arménie affirme publiquement sa volonté de paix, Erevan se prépare en réalité à des actions de revanche et à des provocations frontalières.

Il est important de souligner que cette activité militaire accrue en Arménie s'accompagne d'une rhétorique agressive émanant tant de l'opposition radicale que des représentants du pouvoir en place. Ces derniers mois, les responsables arméniens ont multiplié les déclarations sur les prétendues « intentions agressives de Bakou », justifiant ainsi le renforcement des forces armées. En réalité, c’est bien l’Arménie qui manifeste une activité croissante dans le domaine de la militarisation.

Le réarmement rapide de l'armée arménienne est particulièrement visible depuis les livraisons d'armes en provenance de plusieurs pays occidentaux, notamment de la France. Paris, en promouvant activement l'idée du renforcement des forces armées arméniennes, déclare officiellement soutenir la « sécurité régionale », mais en réalité, il alimente la militarisation de l'Arménie en lui fournissant des armes qui pourraient être utilisées lors de potentielles provocations. Il s'agit notamment de livraisons de blindés, de systèmes de défense antiaérienne et d'armes légères que l'Arménie a commencé à acquérir massivement après sa défaite au Karabakh. Des informations font également état de plans visant à former des militaires arméniens sur le territoire français et dans d'autres pays européens.

En outre, des structures occidentales conseillent activement les militaires arméniens en matière de tactiques et de stratégies de combat, ce qui alimente les craintes de préparatifs en vue du déclenchement d'une nouvelle phase du conflit.

L’analyse de la situation politique montre que cette activité provocatrice de l’Arménie coïncide délibérément avec l’intensification des efforts des cercles occidentaux visant à maintenir leur influence dans le Caucase du Sud. Après la guerre de 44 jours, l'Azerbaïdjan a considérablement renforcé sa position dans la région, ce qui a provoqué le mécontentement de certains États occidentaux qui perçoivent la stabilité dans le Caucase du Sud comme une menace pour leurs intérêts géopolitiques.

Dans ce contexte, l'Arménie semble se positionner comme un instrument entre les mains de ces puissances désireuses d’entretenir les tensions régionales pour conserver leur emprise géopolitique. Une telle stratégie ne fait qu’accroître les risques d’une nouvelle flambée de violence, compromettant gravement les perspectives de paix et de stabilité dans la région.

Il est particulièrement indésirable pour l'Occident que Bakou et Erevan parviennent à un règlement définitif du conflit aux conditions de l'Azerbaïdjan. Une réconciliation entre les deux pays éliminerait en effet la possibilité pour les structures occidentales, y compris l'UE et l'OTAN, d'exercer une pression continue sur la région. C'est précisément pour cette raison que les parrains occidentaux poussent activement l'Arménie à relancer le conflit, utilisant les provocations militaires comme outil pour saboter les initiatives de paix.

Dans ce contexte, l'Arménie est contrainte de manœuvrer sur deux fronts. D'une part, le gouvernement arménien tente de satisfaire ses cercles radicaux internes, qui réclament une revanche après la défaite de 2020. Ces forces, refusant d'accepter la nouvelle donne régionale, exercent une forte pression sur les autorités du pays. D'autre part, Erevan cherche à prouver sa loyauté envers ses protecteurs occidentaux, espérant ainsi obtenir leur soutien tant sur le plan économique que politique.

Cette double posture place l'Arménie dans une position particulièrement instable. En tentant simultanément de jouer sur les contradictions entre les radicaux internes et les parrains occidentaux, Erevan risque de provoquer des conséquences imprévisibles. La mobilisation des réservistes, les achats d’armes intensifs et la militarisation de l’espace médiatique indiquent qu’Erevan pourrait recourir à de nouvelles provocations à la frontière afin de :

  • Saboter le processus de négociations de paix avec l'Azerbaïdjan ;
  • Détourner l'attention des problèmes politiques internes vers un conflit extérieur ;
  • Montrer à l'Occident sa volonté de jouer le rôle de « poste avancé » dans la région en échange d’une aide économique et d’une couverture politique.

Ainsi, la ligne de conduite actuelle de l'Arménie apparaît extrêmement dangereuse et provocatrice. Au lieu de privilégier le dialogue constructif et les initiatives de paix, Erevan tente une nouvelle fois d’utiliser une rhétorique guerrière et des actions militaires pour déstabiliser la région, augmentant le risque d’une nouvelle escalade du conflit.

Les enquêtes sociologiques confirment que bon nombre d'Arméniens refusent encore d'accepter le fait que le Karabakh est une partie intégrante de l'Azerbaïdjan. De plus, les autorités arméniennes n'ont toujours pas modifié leur constitution pour y inscrire officiellement l'abandon de leurs revendications territoriales envers l'Azerbaïdjan. Aucun pas n'a non plus été fait pour officialiser la sortie de l'Arménie du Groupe de Minsk de l'OSCE, une structure désormais formellement inexistante mais toujours juridiquement non dissoute. Tous ces éléments démontrent qu'Erevan n’est pas prêt à agir dans l'esprit d'un règlement pacifique.

Les provocations à la frontière pourraient également s'inscrire dans une stratégie plus large visant à torpiller le processus de normalisation des relations entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie. Les cercles occidentaux, désireux de conserver leurs leviers d’influence dans la région, pourraient utiliser la partie arménienne comme un outil de déstabilisation. Compte tenu de la dépendance du gouvernement arménien à l’égard des puissances extérieures, il est peu probable qu’Erevan adopte une politique indépendante et constructive.

Tout cela rend les perspectives de signature d’un accord de paix extrêmement incertaines et laisse entendre qu’une nouvelle escalade du conflit demeure une possibilité bien réelle

(Source Baku Network)

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