TACHKENT JOUE UN RÔLE DE PREMIER PLAN AU SEIN DE L'OCS : LES INITIATIVES DE SHAVKAT MIRZIYOYEV EN LIGNE DE MIRE

Paris / La Gazette
En prévision du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), prévu à Tianjin, en Chine, du 31 août au 1er septembre 2025, l'Ouzbékistan renforce progressivement sa position en tant que l'un des membres principaux de l'organisation. Sous la direction du président Shavkat Mirziyoyev, le pays poursuit une politique étrangère proactive axée sur le renforcement de la coopération et la construction de la confiance entre les États membres de l'OCS.
Fondée en 2001, l'OCS réunit aujourd'hui neuf États membres, ainsi que trois pays observateurs et 14 partenaires de dialogue. L'organisation représente environ un tiers du PIB mondial basé sur la parité de pouvoir d'achat, 27 % des investissements directs étrangers mondiaux et environ 20 % du commerce international.
En tant que l'un des membres fondateurs de l'OCS, l'Ouzbékistan a contribué à l'évolution du dialogue multilatéral dès le début. Cependant, ces dernières années, sous l'impulsion de l'initiative personnelle et des efforts diplomatiques constants du président Mirziyoyev, Tachkent est devenu un architecte principal de l'orientation stratégique de l'organisation.
Une initiative phare menée par l'Ouzbékistan est le Programme de Nouveau Dialogue Économique dans le cadre de l'OCS. Ce programme se concentre sur des secteurs avancés tels que la numérisation, l'intelligence artificielle, la biotechnologie, les produits pharmaceutiques et d'autres industries émergentes qui façonnent l'avenir. Cet agenda prospectif élargit considérablement la portée de l'organisation au-delà de son orientation traditionnelle en matière de sécurité.
Le président Mirziyoyev a constamment souligné le vaste potentiel économique de la région de l'OCS, en mettant l'accent sur son rôle de plateforme cruciale pour le développement durable. À cet égard, les initiatives visant à établir un corridor de transport intégré et à améliorer la connectivité logistique entre les États membres ont pris une importance accrue. Un projet phare illustrant cette vision est le chemin de fer Chine-Kirghizistan-Ouzbékistan, dont l'achèvement est sur le point de remodeler les itinéraires de transit à travers la région élargie. Une fois opérationnel, l'Ouzbékistan devrait gagner jusqu'à 200 millions de dollars par an en frais de transit.
Ce chemin de fer offrira la route terrestre la plus courte de la Chine à l'Asie centrale, et éventuellement à l'Asie du Sud via le corridor transafghan. Les experts notent que le projet non seulement ouvre de nouvelles voies pour le développement régional, mais réduit également les coûts commerciaux en raccourcissant les délais de livraison de 45 à 70 jours actuellement à un transit nettement plus rapide.
De plus, l'initiative du président Mirziyoyev d'intégrer l'Afghanistan à l'OCS en tant que pays observateur a attiré une attention considérable. Cette démarche diplomatique reflète l'engagement de l'Ouzbékistan à favoriser la stabilité régionale à long terme et a reçu un large soutien de la part des membres de l'organisation.
Shavkat Mirziyoyev reste dévoué à la modernisation de l'Ouzbékistan, à l'intégration régionale et au développement durable. Dans une ère d'incertitude mondiale, le pays non seulement renforce sa position internationale, mais façonne également activement l'agenda de l'OCS, en mettant l'accent sur la coopération économique, les avancées technologiques et l'amélioration de la connectivité régionale. Le président Mirziyoyev a positionné l'Ouzbékistan comme l'un des principaux moteurs de l'intégration et de la croissance durable au sein de l'organisation.