Peter Tase : Le temps du dialogue est terminé, l'Arménie mérite la condamnation internationale
Bakou / Lagazetteaz
« Le temps du dialogue est terminé, l'Arménie mérite la condamnation internationale », a souligné Peter Tase, expert américain en politique européenne et latino-américaine.
« Les actions militaires à grande échelle menées par les forces armées arméniennes contre la population civile de l'Azerbaïdjan le 27 septembre constituent une violation flagrante du droit international. Dans le contexte de ces actions brutales de l'Arménie, la communauté internationale, en particulier les puissances européennes et les coprésidents du Groupe de Minsk de l'OSCE, gardent le silence, ce qui ajoute encore à la confusion de ce conflit armé », a déclaré l'expert américain.
Il a noté que ces graves provocations militaires commises par l'Arménie, y compris les tirs d'armes et de mortiers de gros calibre, devraient être immédiatement condamnées par le département d'État des États-Unis, et que le Secrétaire d'État Mike Pompeo devrait planifier d'urgence une visite officielle à Bakou dans les prochains jours.
« Le meurtre de citoyens azerbaïdjanais pacifiques devrait être fermement condamné par le Premier ministre albanais, Président en exercice de l'OSCE, Edi Rama, qui était déterminé à changer la situation sur le terrain et à relancer le dialogue. En fait, le temps du dialogue est terminé, l'Arménie mérite la condamnation internationale. Les dirigeants arméniens devraient être traduits devant un tribunal international pour avoir commis des crimes de masse contre l'humanité et la destruction des ressources environnementales sur le territoire souverain de l'Azerbaïdjan. Erevan est responsable de la destruction de nombreux monuments culturels et religieux, qui sont un véritable trésor du monde entier. Edi Rama devrait prendre l'initiative de condamner fermement l'attaque militaire de l'Arménie contre des biens civils sur la terre souveraine de l'Azerbaïdjan. Il est temps pour Edi Rama d'assurer la mise en œuvre des quatre résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies qui ont été ignorées par l'Arménie pendant près de trois décennies », a conclu M. Tase.
