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La banque américaine JP Morgan prévoit une hausse de la production de pétrole en Azerbaïdjan en 2022

17 Août 2021 09:11 (UTC+01:00)
La banque américaine JP Morgan prévoit une hausse de la production de pétrole en Azerbaïdjan en 2022
La banque américaine JP Morgan prévoit une hausse de la production de pétrole en Azerbaïdjan en 2022

Paris / Lagazetteaz

La production de pétrole brut en Azerbaïdjan devrait atteindre 669 000 barils par jour (bpj) en 2022, contre 615 000 barils par jour (bpj) en 2021, indique un rapport de la banque américaine JP Morgan.

Selon le rapport, la production trimestrielle de pétrole en Azerbaïdjan en 2022 est prévue comme suit : 667 000 bpj au premier trimestre et 670 000 bpj aux deuxième, troisième et quatrième trimestres.

Le rapport de JP Morgan note qu'en janvier 2022, la production sera de 661 000 bpj, et dans les mois restants - 670 000 bpj.

Rappelons que lors de la 19e réunion ministérielle de l'OPEP et des non-OPEP, l'Azerbaïdjan a soutenu la décision de prolonger la « Déclaration de coopération » jusqu'à la fin de 2022, ce qui implique une augmentation de la production quotidienne de pétrole brut de 400 mille barils chaque mois d'août à décembre 2021 et un ajustement partiel du niveau de production de pétrole de base à partir de mai prochain.

La nouvelle « Déclaration sur la coopération » prévoit une augmentation correspondante de la production quotidienne de pétrole en Azerbaïdjan d'août à la fin de l'année en cours, ainsi qu'une diminution correspondante des obligations de réduction. De mai 2022 jusqu'à la fin de l'année, le calcul des obligations de production de pétrole de l'Azerbaïdjan se poursuivra sur la base existante, c'est-à-dire que la production quotidienne de pétrole brut de 718 mille barils par jour en octobre 2018 en Azerbaïdjan restera la base pour déterminer le niveau de production l'année prochaine.

L'Azerbaïdjan a soutenu cette nouvelle décision de l'OPEP +, qui contribuera à équilibrer le marché mondial du pétrole. Le nouvel accord prévoit une réduction de 5,8 millions de barils dans les pays de l'OPEP + à 2 millions de barils d'ici la fin de 2021.

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