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Hikmet Hadjiyev : « La Stratégie de sécurité nationale de l'Arménie est comme un faux manuel d'histoire »

13 Août 2020 08:00 (UTC+01:00)
Hikmet Hadjiyev : « La Stratégie de sécurité nationale de l'Arménie est comme un faux manuel d'histoire »
Hikmet Hadjiyev : « La Stratégie de sécurité nationale de l'Arménie est comme un faux manuel d'histoire »

Bakou / Lagazetteaz

« L'autre jour, l'Arménie a annoncé au public sa nouvelle Stratégie de sécurité nationale. Dans les notes rédigées en préface de cette stratégie, le Premier ministre Nikol Pachinyan aborde largement l'histoire de l'Arménie, en évoquant les hauts plateaux arméniens, Hayk, le roi Artashes, les Arsacides, le royaume de Van, d'actes de génocide et d'autres moments historiques similaires de nature mythique, ce qui n'est pas tout à fait compatible avec de tels documents en termes de format »

Comme le rapporte Lagazetteaz, ces propos sont contenues dans les commentaires du Chef du Département de la politique étrangère de l'Administration présidentielle et Assistant du Président de la République d'Azerbaïdjan, Hikmet Hadjiyev, sur la nouvelle Stratégie de sécurité nationale de l'Arménie.

Hikmet Hadjiyev estime qu'en général, la Stratégie de sécurité nationale de l'Arménie est comme un faux manuel d'histoire. Généralement, ce document ne contient pas autant de références à l'histoire. Il semble que l'Arménie soit toujours otage du passé, son complexe d'infériorité s'est manifesté dans ce document.

« Au fur et à mesure que nous nous familiarisons avec cette stratégie, il devient immédiatement évident que les valeurs chauvinistes, xénophobes et racistes sont promues ici. Des messages sont donnés sur la grandeur du peuple arménien, sa supériorité sur les autres peuples ainsi que sur l'intolérance envers les peuples voisins. Le Premier ministre arménien, citant un poème de Vaan Teryan, salue la destruction de la grande civilisation babylonienne. En fait, l'essentiel de cette Stratégie est résumé dans la citation : « Babylone était notre ennemi, mais où est-il maintenant ? Il est couvert de déserts. » Il n'y a pas de différence entre cet état d'esprit et la vision du monde des terroristes qui détruisent d'anciens monuments historiques au Moyen-Orient. En voyant tout cela, il devient clair comment la théorie chauviniste du fasciste Garegin Njdeh « Tseghakronism » est apparue et pourquoi de telles idéologies sont si répandues en Arménie.

Peut-être que dans aucun pays, sauf en Arménie, la stratégie de sécurité nationale ne contient de poèmes.

Ce document de Stratégie de sécurité nationale de l'Arménie aborde également la « révolution de velours » et souligne qu'il définit de nouvelles normes. En fait, une telle référence dans cette Stratégie de sécurité nationale ne correspond pas au format du document et est illogique. Étant donné que ces instruments ne doivent promouvoir aucune force politique, ils doivent décrire la notion de sécurité commune et à long terme de l`État. Autrement dit, le concept devrait être un document correspondant aux intérêts de l'État, et non des autorités. Il s'avère que cette stratégie deviendra automatiquement nulle et non avenue lorsque les forces opposées à Pachinyan et à la « révolution de velours » arriveront au pouvoir demain en Arménie. Il semble que ce ne soit pas la Stratégie de sécurité nationale du gouvernement arménien, mais du gouvernement de Pachinyan, arrivé au pouvoir à la suite de la « révolution » avec le soutien de Soros et de son entourage, qui a reçu de l'argent de la Fondation Soros.

Le document contient de nombreuses références au conflit arméno-azerbaïdjanais, des allégations contre l’Azerbaïdjan, qui prétend qu'il y a de l'arménophobie en Azerbaïdjan. En plus, ce document contient des références au régime illégal établi par l'Arménie dans les territoires occupés de l'Azerbaïdjan.

À cet égard, je tiens à souligner que les faits et les arguments concernant le conflit arméno-azerbaïdjanais dans cette Stratégie sont également falsifiés. L'Arménie a occupé le Haut-Karabagh et sept régions adjacentes de la République d'Azerbaïdjan. L'Arménie a commis un génocide contre les Azerbaïdjanais, a procédé à un nettoyage ethnique et a commis des crimes de guerre. En dépit des exigences de quatre résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, l'Arménie n'a pas encore retiré ses troupes des anciens territoires azerbaïdjanais occupés, par contre elle mène des activités illégales dans ces territoires occupés, y compris une politique de réinstallation illégale ainsi que tente de faire disparaître les traces de l'Azerbaïdjan dans ces territoires occupés. L`Arménie, en violation flagrante du cessez-le-feu le long de la ligne de contact et de la frontière avec l’Azerbaïdjan, se livre à des provocations et bombarde délibérément les civils et les biens ainsi que les infrastructures azerbaïdjanais. L`Arménie n`est pas intéressée par les négociations et tente de prolonger artificiellement le statu quo et de consolider l`occupation.

Quant aux spéculations sur les hostilités datant d'avril 2016, je voudrais faire remarquer qu'en ce temps-là, les forces armées arméniennes ont eu recours à une nouvelle provocation contre l'Azerbaïdjan. Et l'Azerbaïdjan a été contraint de prendre des mesures de rétorsion pour protéger sa population. Lors de la dernière provocation commise par l'Arménie en direction de la région de Tovouz de la République d’Azerbaïdjan, à la frontière arméno-azerbaïdjanaise, la population et les biens civils azerbaïdjanais ont de nouveau été pris pour cible.

Ce document fait à plusieurs reprises référence au principe de l'autodétermination des peuples. Il est souligné que le droit de la soi-disant institution à l'autodétermination devrait être reconnu sans condition.

L`Arménie tente de couvrir le fait de l`occupation par le principe de l`autodétermination. Ce principe ne peut en aucun cas être appliqué à la région azerbaïdjanaise du Haut-Karabagh. Il s'agit d'une occupation, et non d'une autodétermination. Ce conflit doit être réglé dans le cadre de l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan et il n'y a pas d'alternative à cela. Comme l'a déclaré le Président de la République d'Azerbaïdjan, M.Ilham Aliyev, l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan n'a jamais été et ne sera jamais l'objet de négociations, et l'Azerbaïdjan ne permettra pas l'établissement d'un deuxième État arménien sur son territoire.

Ce document de stratégie, qui exige la reconnaissance inconditionnelle et sans restriction du droit de la soi-disant « structure » à l'autodétermination et qui reconnaît ce régime illégal comme un « pays libre », est en soi un autre coup porté par l'Arménie au processus de négociations au sein du groupe de Minsk de l'OSCE. Je trouve que les coprésidents et la communauté internationale dans son ensemble devraient réagir à ce document.

En gros, commenter le territoire d'un autre État dans un document relatif à l'Arménie elle-même est un exemple frappant de politique d'occupation.

Ce document note que l'Arménie serait engagée dans les négociations au sein du groupe de Minsk de l'OSCE. Cependant, les déclarations du Premier ministre de ce pays, telles que « Le Karabakh, c’est l'Arménie et c’est tout », celles du ministre de la Défense, telles que « Nouvelle guerre pour de nouvelles terres », les tentatives d'engager le soi-disant régime dans les négociations en tant que partie ainsi que des points de vue provocatrices sur le conflit reflétés dans ce document de Stratégie prouvent une fois de plus que l'Arménie arrache consciemment le processus de négociation et a l'intention de poursuivre l'occupation.

Il est approuvé par ce document que la soi-disant « entité » devrait disposer de lignes de défense appropriées capables d'assurer sa sécurité ainsi que d'une communication sûre et complète avec le monde extérieur, y compris l'Arménie. Il fait ainsi allusion à la région de Latchine et aux autres régions occupées adjacentes à la région du Haut-Karabagh de la République d’Azerbaïdjan. Cela montre encore une fois que l'Arménie n'a pas l'intention se retirer des territoires occupés de l’Azerbaïdjan.

Par ailleurs, ce document indique à plusieurs reprises que l'Arménie est le garant de la sécurité de cette soi-disant « entité ». Il s'agit d'une reconnaissance flagrante de l'occupation. En plus, il est affirmé que la
tentative de l'Azerbaïdjan de résoudre ce conflit par de moyens militaires constitue une menace pour l'existence physique de la population de cette soi-disant « entité ». En fait, la politique d'occupation de l'Arménie a mis fin à la présence physique de la population civile azerbaïdjanaise sur ses terres natales. L`Arménie a mené une politique de nettoyage ethnique, chassant près d`un million de réfugiés et de personnes déplacées internes de leurs foyers d`origine.

Ce document met en avant le fait que le but du processus de négociation est de « préserver les résultats de la guerre ». Cela montre clairement que l'Arménie a l'intention de continuer à occuper les territoires azerbaïdjanais, et qu'elle n'est pas intéressée par les négociations visant à servir la paix durable dans la région.

En lisant ce document de Stratégie, on ressent clairement l'azerbaïdjanophobie en Arménie. Dans ce pays, la haine envers les Azerbaïdjanais est ouvertement incitée.

Cette Stratégie fait référence aux massacres d'Arméniens qui auraient été perpétrés par l'Azerbaïdjan. Ces allégations de l’Arménie, d'un pays qui a commis un génocide et des atrocités contre les Azerbaïdjanais, ont détruit l'héritage de l'Azerbaïdjan en Arménie et ont modifié ses toponymes, et ce n’est rien qu’une véritable hypocrisie.

Ce document signale qu'il n'y a pas de place pour la violence et la xénophobie dans la société arménienne. En fait, l'Arménie a expulsé de force plus d'un million d'Azerbaïdjanais de leurs terres natales ainsi que des territoires azerbaïdjanais occupés. L'Arménie est un pays qui détruit des mosquées, des monuments historiques et des tombes. La xénophobie a atteint un tel niveau que les caractéristiques architecturales et l'essence même de la Mosquée Bleue à Erevan et de la Mosquée Yukhary Govher Agha à Choucha ont été modifiées et sont présentées comme des monuments iraniens. En Arménie, la tombe du grand poète azerbaïdjanais Ashig Alasgar a été détruite. En 2003, l'ex-président arménien a déclaré au centre de l'Europe que « les Arméniens et les Azerbaïdjanais sont ethniquement incompatibles ».

Ce document souligne que les Arméniens ont été victimes du premier « génocide » du XXe siècle, et l'Arménie accorde une attention particulière au sujet de la prévention du génocide au niveau international, qui est un autre mensonge. À la fin du 20ème siècle, l'Arménie elle-même a commis un génocide contre les Azerbaïdjanais à Khojaly.

Cette stratégie met également l’accent sur le raisonnement contre la Turquie, il y a des références au soi-disant « génocide ». La raison en est l'appel lancé par la Turquie à l'Arménie pour qu'elle libère les territoires occupés de l'Azerbaïdjan sur la base du droit international et de la justice historique. Sur la vague de l'histoire mythique, l'Arménie démontre une fois de plus qu'elle ne peut pas vivre en paix avec ses voisins, et que le développement futur de l'Arménie en tant qu'État est donc impossible.

Ce document insiste sur le fait que l'Arménie est préoccupée par la régression de la démocratie et des droits de l'homme dans la région. En plus il est ajouté que l'Azerbaïdjan et la Turquie sont à la « traîne » du point de vue de la démocratie et des droits de l'homme, ce qui a un impact négatif sur la mise en œuvre des obligations internationales par ces pays. En fait, c'est un autre indicateur du racisme et du chauvinisme. Je compte que l’Arménie, qui a occupé le territoire d`un autre État et qui a effectué un nettoyage ethnique, est le dernier pays à avoir le droit de parler des droits de l`homme. Que l'Arménie, un pays qui se positionne faussement et sans scrupules comme un porte-parole de la démocratie et un défenseur des droits de l'homme, ne s'inquiète pas pour nous, mais se concentre sur ses problèmes généralisés en matière de droits de l'homme.

En général, les propos de l'Arménie sur la démocratie et les droits de l'homme sont ridicules. La junte militaire est au pouvoir dans ce pays depuis près de 20 ans, de hauts fonctionnaires ont été abattus au Parlement, et l'actuel Premier ministre menace de « poser sur le bitume » ses rivaux politiques et le fait. En Arménie, les hommes politiques et les journalistes sont persécutés pour leurs opinions politiques. À titre d'exemple, le journaliste Mher Yeghiazarian est mort en prison après une grève de la faim.

Ce document de Stratégie de sécurité nationale de l'Arménie contient des références aux menaces dans la région. Je voudrais faire savoir que la plus grande menace dans la région est précisément l'Arménie elle-même et sa politique d'occupation. La plus grande menace pour la sécurité nationale de l'Arménie est la politique de l'Arménie et du gouvernement de Pachinyan.

Le document explique que l'Azerbaïdjan et la Turquie ont maintenu l'Arménie dans un blocus économique et l'ont isolée des projets régionaux. C'est une insolence flagrante. De telles accusations de l'Arménie dans les conditions de l'occupation des territoires internationalement reconnus de l'Azerbaïdjan franchissent tous les limites.

Le document note que la vision de la politique étrangère de l'Arménie est basée sur un dialogue international, interethnique et intercivilisationnel. Le fait que l'Arménie adopte une telle thèse est extrêmement ridicule. Cela ne reflète pas la réalité. Comme je l`ai mentionné un peu plus haut, l`Arménie est un État qui a procédé à un nettoyage ethnique sur son territoire et sur les territoires azerbaïdjanais occupés, qui a détruit et s'est approprié des monuments culturels et historiques du peuple azerbaïdjanais. La politique étrangère d`un tel État ne peut être fondée sur un dialogue entre les peuples et les civilisations. À noter, l'Arménie est devenue le seul pays à boycotter le 7ème Forum mondial de l'Alliance des civilisations de l'ONU tenu en Azerbaïdjan en 2016. Cela montre une fois de plus que les valeurs promues par l'Arménie sont totalement contraires aux valeurs de l'Alliance des civilisations de l'ONU.

Cette Stratégie arménienne fait référence au développement des relations de l'Arménie avec les pays du Moyen-Orient. L'Arménie a occupé le territoire d'un État du monde islamique et détruit son héritage islamique. De quel type de coopération pouvons-nous parler entre les pays musulmans et un tel État ? Je trouve que les pays du Moyen-Orient devraient en tenir compte.

Le document indique que l'Arménie s'efforcera en sorte que les membres de l'Organisation du Traité de Sécurité Collective (O.T.S.C.) remplissent leurs obligations alliées les uns envers les autres ainsi que d'accroître l'efficacité de cette organisation. C'est comme si l'Arménie était propriétaire de cette organisation et qu'elle allait donner une leçon aux autres membres de cette organisation. L'Arménie a arrêté l'ex-secrétaire général de l'OTSC sans consulter aucun de ses membres, et a maintenant l’intention de donner une leçon aux autres membres de cette organisation. L'Arménie, qui boycotte depuis longtemps la nomination d'un nouveau secrétaire général de l'OTSC, a elle-même porté un coup dur à l'efficacité de cette organisation. Comme l'a noté le Président de l'Azerbaïdjan Ilham Aliyev, les déchets de Soros ne peuvent pas être des alliés de l'OTSC.

Ce document insiste que l'Arménie prône la liberté d'expression et le pluralisme, et s'oppose au terrorisme et à l'extrémisme. Cependant, c'est un mensonge absolu. Récemment, à Los Angeles, à Bruxelles et dans d'autres villes du monde, les Arméniens ont attaqué et blessé de façon barbare les manifestants azerbaïdjanais pacifiques vivant à l’étranger. C'est exactement le résultat de la politique extrémiste de l'Arménie. La diaspora arménienne promeut également une idéologie basée sur une exclusivité mythique arménienne et sans fondement. En conséquence, cette diaspora arménienne, par ses activités de dissolution, crée des obstacles supplémentaires à la résolution du conflit arméno-azerbaïdjanais.

En ce qui concerne les paragraphes sur le « panarménisme » dans ce document de Stratégie, je tiens à dire que cela signifie en fait une ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays. Car l'Arménie fixe des orientations et des priorités pour les Arméniens qui y vivent.

Cette stratégie stipule que les conditions seront créées pour le rapatriement des Arméniens dans leur pays d’origine. Ainsi, l'Arménie entend se doter de ressources humaines supplémentaires pour poursuivre sa politique de colonisation illégale dans les anciens territoires azerbaïdjanais occupés.

Le document reconnaît ouvertement la crise démographique, la pauvreté, l'inégalité sociale et la polarisation sociale en Arménie, et affirme que l'émigration croissante est l'un des principaux problèmes au sein de la société arménienne. En même temps, il existe un certain nombre de points de vue concernant le développement économique de l'Arménie. Cependant, il ne faut pas oublier que tant que l'Arménie ne libérera pas les terres azerbaïdjanaises, elle ne participera pas aux projets économiques régionaux et restera économiquement isolée. Dans le contexte d'un conflit non résolu, il est inutile de parler des perspectives de développement économique de l'Arménie ainsi que de l'élimination de l'émigration, de la pauvreté, du chômage et de l'inégalité sociale.

L’objectif de l’État arménien est de stabiliser la population et d`atteindre la croissance démographique. Toutefois, si l`Arménie poursuit sa politique d`occupation, elle ne pourra pas atteindre ces objectifs et la situation ne fera qu`aggraver. Car les Arméniens n'ont pas confiance en l'avenir de leur pays et beaucoup d’entre eux qui craignent une confrontation avec l'Azerbaïdjan quittent le pays.

Ce document mentionne que, dans le développement de l'Arménie en tant que centre de hautes technologies, une attention particulière sera accordée au rôle du système scientifique et éducatif. Toutefois, comment atteindre cet objectif dans un contexte d'exode massif des personnes instruites du pays, qui est également reconnu dans cette Stratégie elle-même ?

Il est souligné dans ce document qu'il est inadmissible de résoudre les problèmes internes par la violence entre les Arméniens, il devrait y avoir un règlement par des tribunaux libres. En fait, la pression politique sur les tribunaux déjà peu libres s’intensifie, la Cour constitutionnelle, qui n'est pas disposée à suivre les instructions du Premier ministre, est soumise à des pressions, et les juges sont remplacés périodiquement.

Dans la section environnementale de ce document de Stratégie de sécurité nationale de l'Arménie, la question de la centrale nucléaire de Metsamor aurait logiquement dû être prise en compte, mais il est intéressant de constater qu'elle n'a pas été mentionnée. Bien que cette centrale nucléaire, qui se trouve dans une zone sismique active et qui a atteint la fin de sa durée de vie, représente avant tout un grand danger pour l'Arménie elle-même.

En général, l'analyse de ce document révèle que l'Arménie se concentre non pas sur des questions, telles que le développement économique, l'éducation, la science, mais sur des accusations infondées contre l'Azerbaïdjan et la Turquie. C'est ce qui caractérise les vues du gouvernement arménien sur l'avenir. L'objectif principal du gouvernement arménien est de garder le peuple de l'Arménie en otage du conflit », a affirmé Hikmet Hadjiyev.

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