Barbarie arménienne à Gandja : Le manque de pression sur l'Arménie encourage ce pays agresseur à commettre de nouveaux crimes, selon Hikmet Hadjiyev
Bakou / Lagazetteaz
L'absence de pression politique et diplomatique sur l'Arménie encourage ce pays à commettre de nouveaux crimes, a déclaré Hikmet Hadjiyev, conseiller diplomatique du Président de la République d'Azerbaïdjan, lors d'un briefing tenu ce samedi à Gandja avec la participation de représentants du corps diplomatique.
Au cours de ce briefing, M. Hadjiyev a noté que l’objectif de cette visite à Gandja était de faire connaitre aux diplomates les crimes de guerre commis par l'Arménie contre les résidents de Gandja, tout le peuple azerbaïdjanais : « Les faits réels sont que les forces armées arméniennes attaquent les villes azerbaïdjanaises en utilisant d'unités militaires et de bases de missiles et d'artillerie situées en Arménie », a-t-il ajouté.
« Depuis le 4 octobre dernier, les forces armées de l’Arménie ont commencé à lancer des attaques à la roquette sur la ville de Gandja, ce qui a fait des morts et des blessés parmi les civils. Il y a une semaine, la même attaque insidieuse a été effectuée par l'Arménie envahissante, la zone densément peuplée de Gandja a été touchée par un missile balistique SKAD. Une nouvelle attaque similaire a eu lieu cette nuit-là. Des objets civils et des maisons ont été détruits. La plus grande tragédie est que des civils, y compris des enfants, ont été tués. Il n'y a pas de bases militaires dans ces territoires. L'Arménie n'attaque que des civils. En vertu du droit international, ces actions de l'Arménie constituent un crime de guerre, une terreur contre les civils. C'est la réalisation par l'Arménie du nettoyage ethnique et du génocide du peuple azerbaïdjanais dans un autre contexte après la tragédie de Khodjaly en 1992. Nous exhortons la communauté internationale à condamner fermement ces actions de l’Arménie. S'il y a un crime, il doit y avoir une punition. Cela doit être garanti dans les relations entre États. Nous constatons avec regret que la suprématie du droit international en ce qui concerne la politique d'occupation de l'Arménie contre l'Azerbaïdjan n'a pas été assurée jusqu'à présent », a-t-il affirmé.
