L'Arménie tente de transformer le Karabagh en un foyer de terrorisme
Bakou / Lagazetteaz
Ayant subi une défaite, les forces armées arméniennes espèrent l'aide de terroristes internationaux, dont l'utilisation par Erevan dans le Haut-Karabagh devient une évidence.
Sur ordre du gouvernement de Pachinian, les membres de la diaspora arménienne et leurs organisations recrutent activement des mercenaires et des terroristes dans le monde entier. En particulier, l'ONG VOMA Center, créée par des Arméniens en Russie, a commencé à former un bataillon de montagne. Des Arméniens de Russie et même le chef de l'Union des Arméniens de Russie, Ara Abrahamyan, lancent un appel pour élargir les bataillons « volontaires ».
Ce dernier a promis d'envoyer 20 000 combattants arméniens au Haut-Karabagh. La participation à une formation armée à l'étranger, conformément au Code pénal de la Fédération de Russie, est un acte criminel et est passible d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 15 ans. Cependant, l'influente diaspora arménienne, qui a des patrons dans les structures du pouvoir en Russie, agit en ignorant les lois de ce pays. Le fait d'utiliser des mercenaires et des terroristes d'autres parties du monde est confirmé au niveau du président arménien Armen Sarkissian lors de son interview accordée à la chaîne de télévision « Al-Jazeera ».
Des sources occidentales d’Erevan rapportent qu'il existe des preuves de la participation de membres de l'organisation terroriste PKK à des opérations de combat dans la zone de conflit du Haut-Karabagh. Ainsi, selon les rapports de la « BBC », Erevan dit ouvertement que ses combattants ont été amenés dans la zone de combat pour participer à la guerre avec l'Azerbaïdjan. La question de la légalité de l'utilisation de mercenaires et de terroristes étrangers dans la guerre contre l'Azerbaïdjan ne préoccupe pas particulièrement les autorités d'Erevan. Alors que de tels faits inquiètent les médiateurs internationaux impliqués dans le règlement de la situation au Haut-Karabagh, et principalement la Russie.
Ce n'est pas aléatoire si le directeur du Service de renseignement extérieur russe, Sergueï Narychkine, a explicitement déclaré que des groupes extrémistes kurdes, outre les membres de nombreuses organisations terroristes arméniennes - ASALA, Dachnaktsutyun, y compris des citoyens des États-Unis, de France, de Grèce, du Canada, de Belgique, du Liban, d'Égypte, d'Irak et de Syrie - combattent également au Karabagh. Accusant sans preuve l'Azerbaïdjan d'utiliser des mercenaires de Syrie, l'Arménie tente à toute vitesse de compenser les pertes de ses forces d'occupation au Haut-Karabagh en y envoyant des milliers de terroristes internationaux. On sait que les organisations terroristes arméniennes ont été créées et ont agi bien avant que l'Arménie elle-même n'émerge et n'obtienne son indépendance. On peut donc dire sans risque de se tromper que l'Arménie et le terrorisme sont des concepts inextricablement liés.
Directeur du Conseil d`experts
Baku Network,
Docteur en philosophie
Elkhan Alasgarov
Site officiel : http://bakunetwork.com
Rejoignez-nous sur Twitter https://twitter.com/BakuNetwork et Facebook https://www.facebook.com/BakuNetwork
Chaîne Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCp5ic7mhc6rZF6w0TQWqtmg