La Banque islamique de développement cherche à attirer de nouveaux partenaires pour rejoindre le Fonds de soutien économique en Ouzbékistan
Paris / Lagazetteaz
L'Ouzbékistan et la Banque islamique de développement (BID) ont discuté des perspectives d'interaction pour mobiliser des ressources supplémentaires et attirer de nouveaux partenaires pour rejoindre le Fonds de soutien économique, qui sera créé en Ouzbékistan, rapporte dans un communiqué le service de presse du Ministère des Investissements et du Commerce extérieur de l'Ouzbékistan.
Le 4 mai, le vice-Premier ministre, ministre des Investissements et du Commerce extérieur de l'Ouzbékistan, Sardor Umurzakov, a tenu une réunion avec le président de la BID, Bandar Hajjar, au cours de laquelle les questions liées à la préparation et à la tenue de la 46e réunion annuelle du Conseil des gouverneurs du groupe de la BID à Tachkent ont été discutées.
Selon le Ministère des Investissements et du Commerce extérieur, l'état d'avancement des préparatifs de l'événement et la mise en œuvre de mesures visant à résoudre les problèmes d'organisation connexes ont été examinés.
Le président de la BID a informé la partie ouzbèke de son intention de se rendre en Ouzbékistan dans un proche avenir pour organiser une tournée de présentation consacrée à une large couverture de la réunion annuelle dans les médias nationaux et étrangers.
Les parties ont également discuté de l'avancement de la mise en œuvre des projets et des initiatives en Ouzbékistan, réalisés avec le soutien de la BID.
M. Hajjar a hautement apprécié la mise en œuvre de l'initiative visant à créer un Fonds de soutien économique en Ouzbékistan et a exprimé l'espoir que cette institution financière deviendra un outil puissant pour stimuler le développement économique, réduire la pauvreté et améliorer le bien-être de la population du pays.
Dans ce contexte, les parties ont examiné les perspectives d'interaction pour mobiliser des ressources supplémentaires et attirer de nouveaux partenaires pour rejoindre le Fonds, tels que le Fonds de développement saoudien, le Fonds d'investissement public, les institutions financières du Groupe de coordination arabe et les investisseurs privés.
