UNE ÉCOLE DU DIMANCHE AZERBAÏDJANAISE À PARIS
Paris / La Gazette
L'école du dimanche azerbaïdjanaise baptisée "Natavan" est installée à Paris, au Centre culturel de l'Ambassade d'Azerbaïdjan en France.
Le projet est mis en œuvre par l'Association Dialogue France-Azerbaïdjan (ADFA) avec le soutien de l'ambassade d'Azerbaïdjan en France, du Comité d'État pour le travail avec la diaspora et de l'Association scientifique Alim.
La cérémonie de reprise de l'enseignement a eu lieu au Centre culturel azerbaïdjanais de Paris.
L'ambassadrice d'Azerbaïdjan en France, Leyla Abdullayeva, a pris la parole lors de la cérémonie d'ouverture de l'école.
« Grâce à la réussite de la politique de l'État, nous pouvons désormais communiquer avec les Azerbaïdjanais dans leur langue maternelle dans n'importe quel pays du monde. C'est notre grand et précieux atout. Nous avons pu préserver le caractère unique et la richesse de notre langue, qui a été soumise à diverses influences et à de graves épreuves », a déclaré Mme Abdullayeva.
L'ambassadrice a remercié les organisateurs d'avoir repris les cours de langue azerbaïdjanaise suspendus en raison de la pandémie de COVID-19.
Dans son discours, Mme Abdullayeva a souligné que l'école du dimanche « Natavan » offrira aux enfants de grandes possibilités d'étudier la langue azerbaïdjanaise et d'en apprendre davantage sur la culture et l'histoire de l'Azerbaïdjan.
Elle a souligné que l'ambassade d'Azerbaïdjan à Paris se joindra périodiquement aux cours et mettra en œuvre des projets à l'école.
« La langue maternelle est très importante pour chaque personne. Aujourd'hui, la langue azerbaïdjanaise est le meilleur moyen de relier nos compatriotes dans un pays étranger. Je suis sûre que nos enfants ici apprendront notre langue maternelle avec beaucoup d'enthousiasme. Ils la préserveront et la transmettront aux générations futures. C'est une mission et un devoir importants pour chaque Azerbaïdjanais. Quel que soit l'endroit où ils vivent, ils préserveront leur langue maternelle et leurs traditions comme la prunelle de leurs yeux, maintiendront notre langue vivante, la maîtriseront parfaitement et renforceront nos liens les uns avec les autres », a poursuivi la diplomate azerbaïdjanaise.
