Le Ministère des Affaires étrangères: la tenue d'"élections" illégales et de prétendues "inaugurations" dans le Haut-Karabakh est une autre manifestation de la politique d'annexion de l'Arménie
Bakou, Lagazetteaz
La tenue d'"élections" illégales et de prétendues "inaugurations" dans la région azerbaïdjanaise du Haut-Karabakh occupée par le pays occupant est une autre manifestation de la politique d'annexion menée par l'Arménie.
Comme le rapporte Lagazetteaz, cela est indiqué dans la déclaration du département du service de presse du Ministère des Affaires étrangères de l'Azerbaïdjan.
Il est noté dans la déclaration que les résultats de soi-disant "élections", qui sont contraires à la fois à la Constitution de l'Azerbaïdjan et aux normes et principes du droit international et, par conséquent, sont rejetés sans équivoque par la communauté internationale, n'ont pas et ne peuvent pas avoir de valeur juridique. Le régime séparatiste établi dans les territoires occupés de l'Azerbaïdjan est le résultat de l'utilisation illégale de la force contre le pays par l'Arménie, qui a entraîné l'occupation de 20% des territoires internationalement reconnus de l'Azerbaïdjan, unu purification ethnique sanglant et la violation des droits fondamentaux de centaines de milliers de personnes déplacées à l'intérieur de ces régions.
La participation du Premier ministre du pays agresseur, l'Arménie, à la provocation de soi-disant "'inauguration" organisée dans la ville de Choucha, qui est un important patrimoine historique et culturel du peuple azerbaïdjanais, n'est qu'une tache noire sur la réputation d'un homme qui se positionne comme un "démocrate".
Dans le contexte de la poursuite de l'occupation militaire du Haut-Karabakh et des régions environnantes de l'Azerbaïdjan et de la privation du droit de vote de la population azerbaïdjanaise expulsée de force, la tenue d'"élections" illegales et la soi-disant "inauguration" dans cette région, au-délà de leur apparente illégalité, ne se prêtent pas à une logique élémentaire et, par conséquent, font l'objet d'une condamnation et d'un rejet univelsels.
La guerre n'est pas encore terminée, et l'Azerbaïdjan se réserve le droit d'assurer son intégrité territoriale à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues par tous les moyens nécessaires. Les actions de provocations appropriées de la part des dirigeants arméniens réduisent presque tous les efforts en vue d'un règlement pacifique du conflit et servent à renforcer la confrontation militaire et à accroître la tension dans la région.
Ne laissez personne en douter que les territoires occupés seront libérés, que l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan sera restaurée à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues et que les droits fondamentaux des personnes déplacées seront garantis.
